“ La cour entend la déposition d’une victime de braquage. Celle-ci déclare, en voyant le prévenu dans le box:
- Celui-là, c’est certain. Il était là. Je le reconnais, je l’ai vu.
L’intéressé:
- Ce n’est pas possible qu’il me reconnaisse, on portait tous des cagoules!”.
*
“Le président:
- Vous l’avez violée, très bien. Vous l’avez ensuite tuée, nous comprenons. Mais pourquoi l’avoir découpée en morceaux?”
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“Le président s’adresse à l’accusé, dont l’entêtement commence à l’énerver:
- On ne vous demande pas si vous êtes innocent, on vous demande si vous êtes coupable!”.
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“L’accusé: “Mais, Monsieur le président, vous voyez bien que c’était un crétin!
Le président: “Ce n’était pas une raison pour le frapper. Les crétins sont des gens comme vous et moi!”
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“Je suis seule et sans ressources depuis la mort de mon regrettable mari”
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Le policier: “Il nous ouvert la porte, n’ayant sur lui qu’un pantalon auquel nous avons donné lecture du mandat du juge d’instruction”
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L’avocat, défendant un prévenu poursuivi dans une affaire de moeurs:
- Mon client est un cérébral…
Le président:
- Ne croyez-vous pas, Maître, que vous placez le cerveau un peu bas?”
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Un avocat plaidant pour un homme politique:
“On sait combien il est difficile de tenir le gouvernail du char de l’Etat”.
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Un escroc, s’adressant au président:
“Le seul bénéfice auquel j’aspire aujourd’hui, c’est celui du doute”.
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Un avocat, à un confrère:
- Ta plaidoirie était comme l’épée de Charlemagne!
Le flatté, néanmoins intrigué:
- Merci. Mais qu’est-ce que tu veux dire par là?
- Qu’elle était longue, plate et mortelle”.
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Un avocat, à propos d’un de ses anciens collaborateurs ayant ouvert son cabinet:
- “Il vole maintenant de ses propres mains”.
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Un avocat: “Au palais, tout le monde attend. Le client attend son avocat. L’avocat attend le juge. Et le juge attend de l’avancement”
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